C’est souvent comme cela, le temps n’attend pas les mots qui doivent se dire, les compliments qui doivent s’exprimer, les reproches que l’on souhaite adresser, l’affection que l’on veut témoigner. Ces derniers temps Marcel était très occupé, il passait en coup de vent, entre deux nouveaux projets, la plume sur cinq ou six textes, il était difficile de l’accrocher, de passer un message, puis le silence s’est installé et puis il est parti.
Et nous restons comme cela, ballant, les mots inutiles, un peu perdus. Continuer la lecture de A Marcel,